Cartographie
Je brouille les pistes et les codes cartographiques existants pour donner à voir de nouveaux territoires à explorer, une nouvelle vision d’un monde réel ou imaginaire.
Nos repères habituels des plans et des cartes sont déformés et ainsi nous plongent dans une nouvelle lecture.
Mon point de départ est le plan de ville que je réinterprète.
Par la transformation que j’apporte, je donne ma vision de l’espace urbain : territoires sans cesse en mouvement, balayés par les flux divers et variés, déplacement de la population, trafic routier, trafic des marchandises, une perpétuelle agitation. Ce sont ces notions que je désire retransmettre via la couleur et l’outil informatique.
Les nouvelles formes ainsi obtenues posent la question de l’image, ou de l’entre deux des images.
Nous ne sommes plus dans une représentation du plan tel qu’on a l’habitude de le voir mais dans un nouvel espace qui génère une multitude d’interprétations.
On se retrouve dans un flottement par la perte des repères habituels mais on reste malgré tout dans l’univers de la cartographie car on décèle des parcelles, des territoires, des réseaux, des frontières, des espaces, la représentation de déplacements, de mouvement, de passage.
Cette question de perception des choses est également celle du monde dans lequel nous vivons.
A l’heure actuelle, on ne sait pas bien où l’on va, ce que sera l’avenir, où l’on est.
La bâche comme support est une référence aux cartes géographiques employées jadis dans les écoles primaires et les collèges.
La bâche est aussi un matériau urbain utilisé dans la publicité, c’est aussi un matériau qui représente le déplacement et le voyage (camions)
Avec l’informatique, il se dégage une notion d’instantanéité (on entre un code et la couleur apparaît), une dynamique qui n’est pas sans
rappeler la vie d’aujourd’hui où tout est basé sur l’immédiateté et la rapidité
Nos repères habituels des plans et des cartes sont déformés et ainsi nous plongent dans une nouvelle lecture.
Mon point de départ est le plan de ville que je réinterprète.
Par la transformation que j’apporte, je donne ma vision de l’espace urbain : territoires sans cesse en mouvement, balayés par les flux divers et variés, déplacement de la population, trafic routier, trafic des marchandises, une perpétuelle agitation. Ce sont ces notions que je désire retransmettre via la couleur et l’outil informatique.
Les nouvelles formes ainsi obtenues posent la question de l’image, ou de l’entre deux des images.
Nous ne sommes plus dans une représentation du plan tel qu’on a l’habitude de le voir mais dans un nouvel espace qui génère une multitude d’interprétations.
On se retrouve dans un flottement par la perte des repères habituels mais on reste malgré tout dans l’univers de la cartographie car on décèle des parcelles, des territoires, des réseaux, des frontières, des espaces, la représentation de déplacements, de mouvement, de passage.
Cette question de perception des choses est également celle du monde dans lequel nous vivons.
A l’heure actuelle, on ne sait pas bien où l’on va, ce que sera l’avenir, où l’on est.
La bâche comme support est une référence aux cartes géographiques employées jadis dans les écoles primaires et les collèges.
La bâche est aussi un matériau urbain utilisé dans la publicité, c’est aussi un matériau qui représente le déplacement et le voyage (camions)
Avec l’informatique, il se dégage une notion d’instantanéité (on entre un code et la couleur apparaît), une dynamique qui n’est pas sans
rappeler la vie d’aujourd’hui où tout est basé sur l’immédiateté et la rapidité